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Archives de Tag: disderot

LAMPE E16 – ATELIER DE RECHERHCE PLASTIQUE (ARP) – DISDEROT 1955

LAMPE E16 - ATELIER DE RECHERHCE PLASTIQUE - DISDEROT 1955

APPLIQUE G17 – PIERRE GUARICHE – DISDEROT 1950

APPLIQUE G17 - PIERRE GUARICHE - DISDEROT 1950 - ARTCURIALVia Artcurial

SUSPENSION M3 – JOSEPH-ANDRE MOTTE – DISDEROT 1958

SUSPENSION M3 - JOSEPH-ANDRE MOTTE - DISDEROT 1958 - PIASAVia Piasa

PAD 2019 @ PARIS

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PAD 2019 x The Good Old Dayz

Événement fondateur pour les amateurs et collectionneurs internationaux d’Art et de Design, le PAD réinvente depuis 22 ans le cabinet d’amateur et l’éclectisme, discernant les aspirations esthétiques et plastiques de son époque pour offrir un écrin intimiste à ceux qui, par héritage et par passion, ont élu les Arts Décoratifs et le Design comme le cœur de leur collection.

Chaque édition évolue pour faire naître des dialogues inédits entre l’Art Moderne, le Design Historique et Contemporain, les Bijoux, les Arts Premiers, et affirmer une personnalité et un point de vue unique de l’Art de Vivre et de Collectionner. Le magnétisme du PAD, c’est l’invitation à pénétrer dans une collection personnelle, conçue par une sélection de marchands français et internationaux, tous plus pertinents dans leurs domaines, pour s’adresser à chaque collectionneur passionné venu du monde entier.

Le PAD propose un parcours exceptionnel du Beau, une résonance stimulante entre les oeuvres mais également entre les spécialités et les personnalités des marchands. Un véritable Salon où l’oeil est sans cesse en alerte, les esprits toujours éveillés, le lieu où se révèle et se construit le goût contemporain pour les Arts Décoratifs des XXème et XXIème siècles.

PRIX DU STAND : Galerie Marcelpoil

PRIX DU DESIGN CONTEMPORAIN : Galerie Desprez Breheret 

Mention spéciale au stand de la Galerie Alexandre Guillemain.

BIO : PIERRE GUARICHE (1926-1995)

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GUARICHE-Pierre-chaise-tulipe-doc

C’est probablement le plus connu des designers français du mouvement moderniste des années 1950, en France. Le plus populaire aussi grâce à des pièces emblématiques destinées aux foyers modestes. Pierre Guariche, designer prolixe, nous laisse de nombreuses pièces, dans une large gamme de prix, avec une constante : la qualité.

Les canons de la guerre se sont tus ; la reconstruction du pays commence. Dès le début des années 1950, une jeune génération de designers modernistes émerge, avide de renouveau et à la créativité explosive. Le jeune Pierre Guariche (1926-1995) est un membre actif de la reconstruction au sortir de la Seconde Guerre mondiale. Il allie la rationalité et l’élégance avec le souci permanent de s’adapter à l’espace pour toucher le plus grand nombre. Fervent acteur de la production série, il n’a de cesse de faire évoluer les techniques de fabrication pour répondre aux besoins de l’habitat. Diplômé de l’ENSAD en 1949, il fait ses premières armes aux côtés de Marcel Gascoin avant de travaillerpour les grands éditeurs de l’époque : Airborne, la Galerie Mai, Steiner, Les Huchers Minvielles, Meurop ou encore Disderot. Membre fondateur du célèbre Atelier de Recherche Plastique (ARP) de 1954 à 1957 et titulaire du prix RenéGabriel en 1965, Pierre Guariche est un personnage charnière au sein des arts décoratifs du XXe siècle.

Préfacto, les prémices

Alors âgé d’à peine 25 ans, il lance en 1952, le programme Prefacto sous l’égide de Charles Bernard, créateur des éditions Airborne. L’ensemble est composé d’une petite table basse, d’une chaise, d’un fauteuil et d’éléments de rangement modulables. Ce salon entièrement modulaire, l’un des premiers d’après-guerre, préfigure le mouvement moderniste. Édité par Airborne à l’origine, le brevet des meubles Prefacto est rapidement cédé à la Galerie Mai. Par la suite, cette dernière distribuera le mobilier de Guariche dans des versions en contre-plaqué afin de proposer des prix plus attractifs. Ces pièces sont peu courantes sur le marché de l’occasion, particulièrement les premières éditions Airborne très prisées des collectionneurs. Un fauteuil Préfacto s’échange autour de 5000 euros. Le prix de la rareté.

GUARICHE-Pierre-fauteuil-prefacto-airborne-1951-paire
L’aventure ARP

En octobre 1954, le trio Pierre Guariche, Michel Mortier et Michel-André Motte créé L’Atelier de Recherche Plastique (ARP). Il s’agit de proposer une offre large et variée, dans la lignée de ce que préfigure le mobilier d’après guerre, afin d’intéresser les éditeurs et les distributeurs. L’Atelier s’installe au coeur du quartier historique des artisans du meuble, faubourg Saint-Antoine, à Paris. Rapidement, les créations du groupe sont éditées : Steiner et Airborne pour les assises, Minvielles pour les rangements et Disderot pour le luminaire. Des références de l’ameublement de l’époque. L’Atelier de Recherche Plastique est consacré dès 1955, en emportant les deux premiers prix du Salon des Arts Ménagers, avec la salle de séjour et la chambre des parents. Alors que les designers développent leur propre identité chacun de leur côté et réalisent des projets personnels l’aventure ARP prend fin en 1957. Une petite enfilade ARP vaut entre 300 et 500 euros tandis qu’une belle assise refaite à neuf coûte près de 1000 euros.

La collaboration avec Airborne

La société Airborne et Pierre Guariche sont étroitement liés. Le designer, le premier à être édité par la firme de Charles Bernard, va signer en 1954, le célèbre fauteuil G1 qui restera au catalogue de l’éditeur jusque dans les années 1970. Il est constitué d’une simple housse en toile tendue reposant sur une structure métallique à section ronde laquée noir. Autre succès de leur collaboration, le mythique fauteuil G10, modèle intemporel, est composé d’une armature en contre-plaqué garnie de mousse et d’un piétement métallique tubulaire laqué noir. Le modèle est décliné dans une version rare, avec accoudoir en bois, ainsi qu’en banquette deux et trois places. Ce fauteuil, assez courant sur le marché de l’occasion dans sa version classique, s’acquiert aisément aux alentours de 600 euros.

guariche G10 airborne

La maison Steiner

Tout le monde connaît la chaise Tonneau, surnommée Amsterdam. Avec la série Tulipe, elle est un classique des années 1950, née de l’association entre Pierre Guariche et la société Steiner. Toutes deux constituées d’une coque en fonte d’aluminium, en fibre de verre de verre ou bien en contreplaqué moulé souple, éventuellement complétées d’une galette d’assise ou entièrement recouvertes, les chaises sont évidées au centre. On reconnaît la Tulipe grâce à une ouverture plus grande. Idéales pour les petits espaces, ces chaises intemporelles fabriquées à de nombreux exemplaires trouvent leur place dans tous les intérieurs. Il est aisé d’en chiner, leur cote se situant autour de 200 euros pour une version en bois ou en fibre et 450 euros pour une version en fonte d’aluminium. Steiner a également édité les célèbres tables d’appoint carrées en mélaminé noir ou blanc dites «tables volantes». Elles sont également utilisées en tables de chevet ou en tables basses lorsqu’elles sont associées en série de trois ou de quatre. Un budget de 150 à 200 euros est nécessaire pour une table. Une version grand modèle, plus rare, existe avec une arrête de 60 cm au lieu de 40 cm.

GUARICHE-chaise-tonneau-bois-detail

Les masterpieces

En parallèle des productions en série pour les firmes Airborne, Steiner ou Meurop, Guariche collabore de façon ponctuelle avec d’autres éditeurs pour lesquels il réalise des pièces produites à petite échelle appelées des «masterpieces». Ce sont
des meubles rares et très prisés des collectionneurs et des passionnés de design moderniste. Parmi ces créations d’exception, citons les chauff euses Courchevelle, éditées par Sièges Témoins, en 1962, le bureau Président chez Les Huchers Minvielles et la rarissime chaise longue dite «La vallée blanche» la même année. Cette dernière, inspirée de Le Corbusier et Bruno Mathsson, a été réalisée dans les ateliers de la fi rme Steiner avant d’être finalement éditée par Les Huchers Minvielle. Un parcours atypique pour l’unique exemplaire connu de cette pièce qui est actuellement en vente dans
une célèbre galerie parisienne. À bon entendeur….

vallee blanche guariche les huchers minvielle

Les luminaires Disderot

Pierre Guariche est souvent qualifié de designer populaire en raison du prix accessible de ses meubles. Des tarifs bas grâce à une production en série par les firmes Airborne et Meurop. En revanche, le designer revêt son costume d’orfèvre quand il s’agit des luminaires édités, pour la plupart, par Pierre Disderot. Édités dans les années 1950, les lampadaires, lampes à poser, appliques ou plafonniers du diplômé de l’Ensad sont des icônes atteignant des résultats record en salle des ventes, au même titre que le mobilier de Jean Prouvé ou Le Corbusier. Dans ce domaine, le talent de Guariche s’exprime. Ses réalisations sont empreintes d’élégance et de légèreté, haussant Guariche au niveau des plus grands créateurs du XXe siècle. Parmi ses modèles phare, le lampadaire à double balancier G23 dit «equilibrium» est une pièce exceptionnelle, à mi-chemin entre la sculpture et l’éclairage d’intérieur. Ces oeuvres ont un prix : plusieurs milliers d’euros voire dizaines de milliers d’euros, sauf coup de chance du chineur.

Lampe agraffe G Pieerre Guariche Disderot

L’étape belge Meurop

Après l’expérience de l’Atelier de Recherche Plastique, Guariche prend la direction artistique du fabricant de mobilier belge Meurop. Il occupera le poste de 1960 à 1968. Pour toucher les foyers les plus modestes (n’oublions pas que dans les années 1950, la population française vit encore des moments difficiles), Guariche réalise du mobilier fabriqué industriellement, notamment les chaises coquillage en plastique moulé, à la fois légères et résistantes. Il imagine également, en 1959, pour Meurop, des pièces de qualité supérieure tel le fauteuil Calice. Sur le marché de l’occasion, le mobilier Meurop dessiné par Guariche est relativement accessible. Une petite enfi lade en contre-plaqué se trouve à partir de 300 euros. N’hésitez à chiner en Belgique où les prix sont plus doux et les pièces de Meurop, plus nombreuses.

Les rééditions

Pierre Guariche n’a malheureusement pas échappé à la réédition. La société Maison du Monde s’y est attelée depuis 2013 en reprenant une quinzaine de pièces du célèbre designer français avec plus ou moins de réussite. S’agissant pour la plupart de pièces relativement courantes du catalogue Guariche, il est conseillé d’opter pour des pièces vintage. Alors que les prix de ces dernières sont proches de ceux du neuf, l’intérêt historique et la cote d’une pièce vintage n’ont pas de commune mesure avec les rééditions. La cote d’un modèle original de Guariche ne s’effritera pas, voire se bonifiera, au fil des ans. Éternel débat entre le mobilier de designer original et les rééditions.

À lire

Pierre Guariche par Lionel Blaisse , Delphine Jacob , Aurélien Jeauneau. Editions Norma.
Airborne Par Pierre Deligny. Éditions Les Modernistes.
Steiner et l’Aventure du design Par Patrick Favardin. Éditions Norma.
Les Décorateurs des années 50 Par Patrick Favardin. Éditions Norma.

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Crédit photo : Galerie Alexandre Guillemain et  Artcurial.

REPORT PHOTO : EXPO « 50 NUANCES DE BLANC » @ GALERIE PASCAL CUISINIER – 9 Sept. au 14 Oct.

C’est tout en blanc que s’effectuera la rentrée à la galerie Pascal Cuisinier pendant que la biennale battra son plein. En effet, le galeriste spécialisé dans le design français des années 50 a sélectionné dans sa collection 50 pièces, des plus connues aux plus rares, pour déplier toutes les nuances possibles de cette non-couleur tellement chic.

Si les années 50 en France s’identifient souvent au piètement tubulaire laqué noir, les exceptions ne manquent pas et de nombreux meubles, sièges ou luminaires ont eu une version blanche au tout début des années 50 mais aussi à la charnière avec les années 60’. Cette non-couleur capable de transformer l’objet qu’elle habille grâce d’abord à la laque, qui couvre le métal des piètement des premiers meubles de Philippon Lecoq puis ceux de l’A.R.P., les tôles perforées des luminaires de Pierre Guariche ou ceux d’Alain Richard. Mais le blanc recouvre aussi meubles et tables basses grâce au stratifié ou à l’opaline, enfin il créé une lumière subtile par l’introduction du plexiglas dans le luminaire à partir de 1958.

Ces matériaux ont vieilli bien sûr. Cela leur confère aujourd’hui une patine et de multiples nuances allant du blanc glacé des marbres et des verres teintés dans la masse, jusqu’aux ivoires profonds des fils Isogaine des chauffeuses d’André Monpoix ou des luminaires de Pierre Guariche créant toute une palette à la fois chic, subtile, sophistiquée et pour autant sobre et sans ostentation, comme bien souvent dans les créations françaises de cette époque.

La galerie ne s’est pas privée d’utiliser la gamme exceptionnelle des blancs qu’offrent les matières des tissus d’éditeurs contemporains comme Pierre Frey pour recouvrir une très belle collection de chaises, de fauteuils et de canapés d’époque. Et elle ne se privera pas non plus d’une mise en scène tout en blanc du sol au plafond seulement nuancée par les éclairages de la collection de luminaires.

EXPO « 50 NUANCES DE BLANC » @ GALERIE PASCAL CUISINIER – 9 Sept. au 14 Oct.

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C’est tout en blanc que s’effectuera la rentrée à la galerie Pascal Cuisinier pendant que la biennale battra son plein. En effet, le galeriste spécialisé dans le design français des années 50 a sélectionné dans sa collection 50 pièces, des plus connues aux plus rares, pour déplier toutes les nuances possibles de cette non-couleur tellement chic.

Si les années 50 en France s’identifient souvent au piètement tubulaire laqué noir, les exceptions ne manquent pas et de nombreux meubles, sièges ou luminaires ont eu une version blanche au tout début des années 50 mais aussi à la charnière avec les années 60’. Cette non-couleur capable de transformer l’objet qu’elle habille grâce d’abord à la laque, qui couvre le métal des piètement des premiers meubles de Philippon Lecoq puis ceux de l’A.R.P., les tôles perforées des luminaires de Pierre Guariche ou ceux d’Alain Richard. Mais le blanc recouvre aussi meubles et tables basses grâce au stratifié ou à l’opaline, enfin il créé une lumière subtile par l’introduction du plexiglas dans le luminaire à partir de 1958.

Ces matériaux ont vieilli bien sûr. Cela leur confère aujourd’hui une patine et de multiples nuances allant du blanc glacé des marbres et des verres teintés dans la masse, jusqu’aux ivoires profonds des fils Isogaine des chauffeuses d’André Monpoix ou des luminaires de Pierre Guariche créant toute une palette à la fois chic, subtile, sophistiquée et pour autant sobre et sans ostentation, comme bien souvent dans les créations françaises de cette époque.

La galerie ne s’est pas privée d’utiliser la gamme exceptionnelle des blancs qu’offrent les matières des tissus d’éditeurs contemporains comme Pierre Frey pour recouvrir une très belle collection de chaises, de fauteuils et de canapés d’époque. Et elle ne se privera pas non plus d’une mise en scène tout en blanc du sol au plafond seulement nuancée par les éclairages de la collection de luminaires.

LAMPE DE TABLE ES2 – ANDRE SIMARD – PIERRE DISDEROT 1955

EXPO RENE-JEAN CAILLETTE – 09/09 au 22/10 @ GALERIE PASCAL CUISINIER

Designer, architecte d’intérieur, graveur ou encore peintre, René-Jean Caillette, homme aux multi-facettes, est mis à l’honneur par l’exposition rétrospective organisée par la galerie Pascal Cuisinier du 09 septembre au 22 octobre 2016. L’occasion pour le public de découvrir ou redécouvrir l’œuvre d’un des designers les plus inventifs et brillants des Trente Glorieuses.

René-Jean Caillette est le plus âgé des « premiers designers » français mais certainement un des plus talentueux. Elève brillant, en 1937, le jeune homme sort major de sa promotion de l’Ecole nationale supérieure des arts appliqués (Duperré). Tout juste diplômé, il fait ses débuts dans le Faubourg St-Antoine puis se lance dans la création de modèles de série faisant de lui un des précurseurs du design français. Polyvalent, il continue de développer son talent de graveur. Cette activité parallèle perdure jusqu’à la fin de sa carrière, puisque en 1990 il reprend son travail sur l’eau forte, et plusieurs expositions personnelles lui sont consacrées. René-Jean Caillette est un membre actif et dynamique du groupe Saint-Honoré1 dont il est l’initiateur en 1949; de l’Association des Créateurs de Mobilier en Série (A.C.M.S.) en 1953 qui défend les droits d’une profession naissante, ainsi que membre fondateur du Groupe 42 dont Charron est l’initiateur en 1954. La présence de René-Jean Caillette lors des grandes manifestations nationales – salon de la Société des artistes décorateurs, Salon des Arts Ménagers – ou internationales – Triennales de Milan, Expositions Universelles – lui fait acquérir la reconnaissance à la fois de ses pairs et du public. Investi dans la promotion du design d’après-guerre, il s’associe avec les meilleurs éditeurs de l’époque : Airborne, Steiner (sièges), Disderot (luminaire), Charron (mobilier) et s’essaie dans l’emploi de nouveaux matériaux mis sur le marché : contreplaqué, inox, rotin, plastique. Soucieux de transmettre son savoir et partager son expérience, il se consacre à l’enseignement au sein de l’Ecole nationale supérieure des arts décoratifs (ENSAD) de 1954 à 1972, et à l’Ecole supérieure des arts graphiques (ESAG Penninghen) de 1969 à 1981 où il y retrouve tous ses confrères. Suite à la disparition de René-Jean Caillette en 2004, l’ensemble de ses créations est légué à l’association des Petits Frères des Pauvres qui les disperse en 2006 chez Tajan dans une vente hommage. L’exposition dédiée à René-Jean Caillette organisée, dix ans après, par la galerie Pascal Cuisinier redécouvre son travail; et lui rend ce qu’il mérite : une place de premier plan dans le paysage du design historique français. La galerie Pascal Cuisinier présentera à l’occasion de cette exposition exceptionnelle une sélection de pièces rares et parmi les plus illustres telles que l’iconique chaise Diamant, la table basse GC56 à l’épaisse dalle de verre de Saint-Gobain, mises en scène au milieu d’un ensemble de documents d’époque prêtés par les musées français et par la famille.
expo-jean-rene-caillette-pascal-cuisinier-the-good-old-dayz-1
Texte : Galerie Pascal Cuisinier

LAMPES PAR ROGER FATUS – DISDEROT CIRCA 1960

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LAMPES PAR ROGER FATUS - DISDEROT CIRCA 1960
Via Cornette de Saint Cyr